SESSION 11

 

Après avoir recherché dans l'un des ouvrages que vous aviez amené dans la grotte sur l'histoire des langages, vous avez réussi à traduire les deux mots, jour et maison.
Le baron avait pensé à un système ingénieux pour bloquer la porte, il fallait aligner les bonnes lettres sur deux roues à crans, ce qui permettait de débloquer la porte. Le mécanisme a laissé le magicien coi : "Mon ancêtre etait vraiment très fort".
Vous avez ensuite repris votre exploration avant d'arriver dans une deuxième salle ... dons les parois étaient entièrement couvertes de symboles sur une hauteur de un mètre et demi ...

 

Parrallèlement au developpement de l'écriture cunéiforme en Mésopotamie, les hiéroglyphes sont l'ecriture egyptienne. Nommée medou-netjer (parole divine) par les Egyptiens, cet ecriture existe depuis le IVème millénaire AV.JC.
La première écriture, l'écriture hiératique, est compliquée et reservée à une élite. Elle a été simplifiée pour être utilisée dans la vie courante : c'est l'écriture démotique. Finalement, le dernier stade le la langue est le copte, ressemblant au grec, et encore utilisé de nos jours comme langage lithurgique.
Bien que les hiéroglyphes soient figuratifs (ils représentent des éléments qui sont reconnaissables), leur traduction n'est pas très facile car il peuvent être lus phonétiquement (le son est pris en compte, independamment de l'idée contenue dans le hiéroglyphe), comme idéogramme (c'est l'idée qui est retenue) ou bien comme determinatif (le determinatif ne se lit pas mais permet de differencier le mot de ses homophones).

Petite anecdote : les hiéroglyphes peuvent se lire de droite à gauche (sens habituel), de gauche à droite ou de haut en bas. Pour trancher dans le cas droite-gauche ou gauche-droite, il suffit de regarder les hiéroglyphes asymétriques (par exemple un personnage) : si la figure est tournée vers la gauche, il faut lire de gauche à droite, et inversement.

 

... Des parois entièrement recouvertes de hiéroglyphes ! Dans un coin, deux ou trois armoires, entourées de quelques flambeaux (éteints, un flambeau ne survit pas 500 ans) et un table en chêne massif (vous entendez encore le magicien dire "vraiment très fort !"). Une petite bouche dans la roche remonte à la surface (le point de lumière que vous voyez est vraiment lointain !) et permet ainsi d'eviter d'enfumer la pièce si le flambreau est allumé. Au centre de la pièce, la porte - ici on parlerait plutôt de trappe, mais bon - en chêne déja rencontrée dans la salle précédente et les deux mecanismes pour la débloquer. Vous chezchez l'énigme dans la salle, pour enfin trouver l'inscription du Baron sur une des parois :

VOIR L'INSCRIPTION

 

NB : Je demande la signification des logogrammes seulement !
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